Pour ce début de saison, on peut dire que la série ne déçoit pas avec deux retour très attendu par les fans(enfin en tout cas MOI) et l’un qui est davantage un clin d’oeil, pas désagréable d’ailleurs.
Alors d’abord on passe rapidement sur les évènements du season premier et leurs conséquences; Bobby est coincé dans un fauteuil et ce n’est pas Castiel avec ses pouvoirs amoindris qui va pouvoir le remettre sur pied d’ou un happy end peu probable et une situation difficile qui risque d’être intéressante pour le personnage et son rapport de figure paternel pour Sam et Dean.
L’Ange en vadrouille justement qui poursuit sa quête de Dieu et passe pour réclamer à Dean son pendentif fétiche qui comme par hasard est une amulette indispensable à la recherche du Divin…un epu gros tout de même tout çà!!
Après cet aparté, les choses sérieuse commence, Rufus (chasseur apparu en saison4) appel à la rescousse d’une ville grouillant de démons façon l’armée des morts vivants. L’arrivée des frères dans ce lieu désert est à la fois péchu grâce à la radio allumée d’une voiture abandonné et flippante malgré la lumière du soleil.
L’animosité que l’on ressent entre les deux frangins ressort dans la ville puisqu’en fait de démons il n’y en à qu’un seul, l’un des chevalier de l’apocalypse nommé guerre.
Problème en ce qui me concerne dès que j’ai apperçu Titus Welliver (tiens, soutiré de Lost comme Pellegrino), je me suis douter du qui et du quoi, pourtant le comment m’a bien surprise:D Tout n’est qu’hallucination et subterfuge pour amener les habitants à ce tuer les uns les autres.
Il faut tout de même avouer que sans la présence de tous ces chasseurs l’histoire n’aurait pas été aussi prenante.
J’ai lu des critique que le lieu de l’attaque (encore un petit coin isolé) gênait, pour ma part je trouve que cela reste constant dans la façon de faire, les démons aiment s’amuser au dépend des hommes et mieux vaut savoir gérer petit avant de s’attaquer au gros poisson.
De plus Lucifer à l’air d’avoir une préférence pour la subtilité et comme le disait Elijah Wood dans the faculty (ouais je sais la référence…) << si tu voulais envahir le monde, tu ferais exploser la maison blanche façon indépendance day ou tu préfererais te glisser par la porte de service...>>
Pour finir ce qui donne toute son émotion à l’épisode c’est finalement cette séparation des deux frères, qui, on a beau le savoir n’est pas définitive, fait quand même bien mal.
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